Le réseau SHS étudie .....
Les traitements anticancéreux ont un impact direct sur l’épigénome des cellules de la niche, et font dans le même temps modifier les différents moyens de communication existant entre ces cellules comme les échanges d’acteurs épigénétiques (ARNs non codants, des protéines à fonction épigénétique contenus dans des vésicules extracellulaires dont les exosomes), de cytokines, PGE2, etc.
Le GT#1 visera à comprendre comment les molécules anticancéreuses modifient ces moyens de communications et l’épigénome des cellules de la niche.
A terme, ces recherches devraient permettre l’identification des mécanismes de résistance aux traitements et de proposer des stratégies thérapeutiques originales pour les cibler.
L’impact de la pollution environnementale sur le risque de cancer ne fait plus débat. Le réseau NET s’intéresse aux effets tumorogéniques i) des faibles doses de pesticides auxquelles sont exposées la population générale en considérant des « cocktails » d’associations de pesticides et ii) un polluant donné sur des populations surexposées de part leur activité professionnelle.
Afin de se rapprocher aux mieux du développement tumoral in vivo chez l'Homme, le réseau NET travaille sur la mise en place de modèle 2D/3D de culture cellulaire intégrant les différentes composantes du microenvironnement tumoral et ses composantes physico-chimiques (hypoxie, pH, etc…). Pour cela, le GT#3 du réseau NET s'appuie sur l'utilisation de lignées tumorales, des cellules primaires ainsi que des biocollections de biopsies liquides et solides.