Cancer et COVID-19 : Préconisation de l'Institut national du cancer (INCa)
CCOVID-19 et cancer : nos experts répondent à vos questions
Cancer et COVID-19 : les réponses à vos questions
Société Française du Cancer : Cancer et COVID-19 au quotidien
Centre Eugène Marquis : Covid et cancer : risqque, traitements du cancer, vaccin
Gustave Roussy : Vaccin Covid-19 : recommandations aux patients
Analyser l'ensemble des gènes codants de la tumeur (Séquençage des exons) pour trouver une ou plusieurs anomalies des gènes tumoraux permet non seulement de mieux comprendre la maladie pour mieux la traiter, mais aussi d'orienter les enfants et adolescents vers de nouvelles options de traitement au moment de la rechute. C'est ce que démontre l'étude MAPPYACTS, grand essai européen mené dans 4 pays, promu par Gustave Roussy et coordonné par la Dr Birgit Geoerger, oncopédiatre à Gustave Roussy et la Dr Gudrun Schleiermacher, oncopédiatre à l'Institut Curie.
Publiés dans la revue Cancer Discovery, les résultats finaux de MAPPYACTS posent les bases de l'accès à une médecine personnalisée de précision pour les plus jeunes atteints de cancer quand le traitement clasique a échoué. La pérennisation du séquençage du génome entier en routine clinique est dorénavant assurée grâce au plan Médecine France Génomique 2025.
Ref publication dans la revue Cancer Discovery
Une récente étude publiée dans la revue European Urology Oncology avance que l'origine de cette maladie pourrait être liée à des bactéries.
Cette dernière étude, publiée dans European Urology Oncology, permet de mieux comprendre quels sont les cancers qui vont progresser rapidement et de manière agressive et ceux qui ne le feront pas. Une partie de l'explication à ces différences d'évolution se trouve dans cinq types de bactéries.
Ref publication dans la revue European Urology Oncology
L'Université de Cambridge s'est servie de 12.000 séquençages génétiques pour mieux comprendre comment certains cancers apparaissent. Les résultats sont inédits.
En analysant les tumeurs des patients, l'équipe a pu mettre le doigt sur plusieurs facteurs qui entraînent la maladie.
Les travaux de l'Université de Cambridge ont permis d'identifier 58 signatures moléculaires dans les tumeurs.
Ref publication dans la revue Science
Epidémiologie des cancers : Le Registre des cancers de Loire-Atlantique/Vendée (EPIC-PL) a réactualisé ses 2 rapports sur la période 2016-2018 pour chaque département
Découvrez pour l'ensemble des cancers et pour chaque localisation :
Synthèse des résultats
Epidémiologie des cancers en Loire-Atlantique
Epidémiologie des cancers en Vendée
pediatrie.e-cancer.fr : le portail d'information dédié aux cancers de l'enfant, de l'adolescent et du jeune adulte. Premier site rassemblant l'ensemble des informations à destination des parents, des enfants, des adolescents et des jeunes adultes, des professionnels de santé et des chercheurs, il s'organise autour de 5 espaces. Ces espaces ont été développés et pensés pour répondre aux questions de chaque profil d'utilisateur que ce soit en termes de contenus, de graphisme et de navigation.
Sortie du nouveau guide "Cancer et travail- cancer du sein" en région Pays de la Loire
Il s'adresse aux malades, proches ou aidants pour retrouver les infos sur le travail après cancer
Jeudi 3 février dernier, députés et sénateurs ont voté pour la réduction du droit à l'oubli à 5 ans pour tous les anciens malades du cancer.
Infos
L'INCa propose 40 pages de conseils de prévention et rappelle que 40% des cancers pourraient être évités grâce à l'adoption de comportements visant à réduire l'exposition aux facteurs de risques évitables.
Brochure Agir pour sa santé contre les risques de cancer
INVITÉ RTL - Cancer : ce que l'on sait du vaccin contre la récidive développé à Toulouse
Jean-Pierre Delord, professeur en oncologie médicale, détaille le fonctionnement du vaccin contre la récidive du cancer développé à Toulouse.
C'est une première en Europe et un immense espoir pour de nombreux patients : un vaccin contre la récidive du cancer développé à Toulouse. Pour en parler, RTL recevait ce mardi Jean-Pierre Delord, professeur en oncologie médicale, directeur général de l'Institut Universitaire du Cancer Toulouse Oncopole (IUCT). "C'est un projet international", explique-t-il.
"Il y a eu autrefois des tentatives de faire des vaccins mais qui n'ont pas été des succès majeurs. L'idée est que maintenant la science et la technologie nous permettent pour chaque patient, en obtenant le séquençage complet du génome de la tumeur, de le comparer à son génome normal et voir où les cellules cancéreuses présentent des anomalies génétiques", explique l'oncologue.
"Au moment où le patient est diagnostiqué pour son cancer, bien entendu il va être traité, mais au moment de l'intervention on récupère la tumeur et en moins de trois mois un vaccin peut-être fabriqué", poursuit-il. "Dans ce programme, il y a les cancers ORL, qui touchent 15.000 personnes par an. Il y a un autre programme pour les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire".
Le SIRIC ILIAD Nantes-Angers (Site de Recherche Intégrée sur le Cancer), partenaire du Cancéropôle Grand Ouest, présente sa nouvelle vidéo sur les travaux de recherche réalisés sur les cancers du sein par les 3 programmes du SIRIC ILIAD : depuis le diagnostic, à l'évaluation de la réponse au traitement, à l'étude de la rechute et à l'après traitement avec la reprise du travail.
Cette vidéo est réalisée avec l'association Europa Donna Loire-Atlantique et présentée par le Docteur Jean-Sébastien Frenel, oncologue à l'Institut de Cancérologie de l'Ouest.
La prise en charge et le traitement des leucémies aiguës myéloïdes (LAM) se sont beaucoup améliorés ces dernières années, mais la survie globale demeure encore faible. En effet, la résistance aux différents traitements représente toujours un défi clinique majeur. A partir de modèles animaux mais également en travaillant avec des patients, des scientifiques de l'Inserm, du CNRS et de l'Université Toulouse III - Paul Sabatier au Centre de Recherches en Cancérologie de Toulouse ont identifié un nouveau biomarqueur prédictif de la réponse à une bithérapie (combinaison d'une chimiothérapie et d'une thérapie ciblée) utilisée dans le traitement des LAM, ainsi que des mécanismes de résistance permettant d'expliquer les rechutes. Les résultats de ces travaux sont publiés dans Nature Cancer.
Infos
Il n'est pas toujours simple d'expliquer aux enfants et adolescents ce qu'est le cancer. À visionner en clase ou à la maison, deux vidéos mettent en scène les cellules du corps : on y apprend comment un cancer se développe, quels sont les facteurs qui augmentent le risque de développer la maladie et surtout, comment, dès l'enfance, on peut s'en protéger. Retrouvez le dispositif dédié aux enfants et adolescents pour les aider à mieux comprendre les cancers pour s'en protéger. Réalisation : Agence Editions spéciales Play Bac - Illustration : Adobe Stock
Retrouvez le magazine dédié à la prévention et au dépistage des cancers "Agir pour sa santé contre les risques de cancer". 40 pages de conseils de prévention, des astuces et bons plans pour être en bonne santé et le rester, à feuilleter en ligne, à télécharger ou commander gratuitement.
Pour la première fois, une étude clinique démontre l'efficacité d'une nouvelle molécule d'immunothérapie sur la survie globale des patients atteints de mélanome uvéal métastatique, coordonnée en France par le Dr Sophie Piperno-Neumann, oncologue médicale à l'Institut Curie. Les résultats font l'objet d'une publication dans le New England Journal of Medicine le 23 septembre 2021.
Quand les cellules se multiplient et migrent, elles peuvent être comprimées et leur noyau se briser. Ce phénomène entraine des détériorations de leur ADN et des scientifiques du CNRS, de l'Institut Curie et de l'Inserm viennent de montrer qu'il facilite ainsi la dissémination des cellules cancéreuses des tumeurs mammaires. Les résultats de ces recherches sont publiés le 21 septembre dans la revue Cell.
Avec plus de 10 000 nouveaux cas par an en France, le cancer du foie est l'un des plus difficiles à prendre en charge. À Rennes, le Centre Eugène Marquis et le CHU viennent d'ouvrir un essai thérapeutique d'immunothérapie cellulaire, utilisant des cellules tueuses de tumeurs, dans le cadre d'une étude internationale. Ils sont les premiers en France à traiter un patient avec cette technique d'immunothérapie inédite (appelée TCR-T cells) pour le cancer du foie.
Dans cette étude publiée dans la revue Cancer Letters, les scientifiques montrent qu'il est possible d'éliminer les cellules à l'origine de la récidive des cancers du cerveau en ciblant une voie métabolique particulière. Pour valider leurs résultats, ils ont utilisé la technologie de pointe que constituent les mini-cerveaux en culture.
Pouvoir remplacer la chirurgie par une injection unique, directement dans la tumeur, ici de nanoparticules, c'est l'approche développée par ces dermatologues et bioingénieurs de l'Université Yale. Une approche à double détente, documentée dans les Actes de l'Académie des Sciences américaine (PNAS).
Les données essentielles les plus récentes sur les principaux cancers en France (incidence, mortalité, survie …), ainsi que les actions de prévention et de soin que l'on peut mener avant, pendant et après la maladie sont synthétisées dans cette brochure. Des décryptages d'experts dans le domaine complètent les chiffres présentés.
Cet état des lieux a permis de prioriser les objectifs de la prochaine stratégie décennale de lutte contre les cancers :
Cette brochure est disponible gratuitement sur e-cancer.fr, en téléchargement ou à la commande.
Les effets de l'exposition professionnelle aux pesticides constituent un problème de santé publique majeur. Une étude, en analysant de façon très précise toutes les données publiées entre 1946 et 2020, établit un lien entre exposition professionnelle aux pesticides et risque de leucémie aiguë myéloïde. En lien avec ces résultats, les auteurs ont aussi objectivé une corrélation entre la consommation en pesticides et l'incidence de ces leucémies aux USA. Ces résultats sont publiés dans la revue Scientific Reports.
Dans des travaux publiés dans eLife, des chercheurs décrivent comment les cellules de cancer du sein fabriquent et relarguent de petites vésicules extracellulaires, les exosomes. Celles-ci se dispersent dans l'organisme et atteignent des organes distants pour favoriser l'apparition de métastases. Ils ont notamment mis en évidence deux protéines essentielles à la formation des exosomes tumoraux (RalA/B), et un récepteur (CD146) impliqué dans leur accumulation dans le futur organe métastatique.
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme. Au stade métastatique, l'hormonothérapie devient le traitement de référence. Une équipe de chercheurs du laboratoire de Génétique, reproduction et développement (GReD - UCA / CNRS / INSERM) met en évidence le rôle majeur du métabolisme des lipides dans la réponse à la thérapie hormonale chez des modèlessouris. En effet, un dysfonctionnement de ce dernier entraîne une inflammation dans la prostate suite à la thérapie hormonale et pourrait contribuer à une résistance au traitement plus rapide. Une découverte qui invite à la réflexion quant aux perspectives d'échappement thérapeutique à la stratégie hormonale chez des patients dyslipidémiques, c'est-à-dire présentant une concentration très élevée de lipides dans le sang ou dans la prostate. Les résultats de ces travaux font l'objet d'une publication dans la revue PLOS Biology le 7 décembre 2020.
L'étude SAFIR 02 Breast-Immuno publiée récemment dans la prestigieuse revue Nature Medicine démontre que certaines patientes atteintes d'un cancer du sein triple négatif (CSTN métastatique) pourraient bénéficier de l'immunothérapie anti-PDL1. C'est la première fois qu'une immunothérapie administrée en monothérapie démontre son efficacité chez ces patientes indépendamment de la présence du récepteur PD-L1 sur les cellules cancéreuses. Les résultats laissent également entrevoir des pistes prometteuses pour disposer d'un nouveau test qui permettrait d'identifier les patientes répondant le mieux à ce potentiel nouveau traitement.
Des travaux soutenus par la Fondation ARC révèlent comment l'absence d'une protéine sur certains lymphocytes limite l'action des défenses immunitaires contre les tumeurs et prive certains patients de l'effet des immunothérapies actuelles.
Le progrès des connaissances sur le système immunitaire a révélé que la radiothérapie se comportait comme une véritable vaccination in situ dans l'organisme. C'est à dire qu'en détruisant un cancer ou une métastase par radiothérapie, on active une réponse immunitaire dans l'organisme, par des cellules appelées lymphocyte T, qui pourra être active contre des cellules cancéreuses à distance des cibles irradiées.
Dans une étude collaborative récemment publiée dans « European Journal Of Cancer », Marc Rodwin,
Professeur de Droit à Suffolk University (Etats-Unis), et résident de l'Institut d'études avancées d'AixMarseille université (IMéRA, AMU) 2017-2018, Patricia Marino (Chercheur IPC, SESSTIM, AMu, Inserm,
IRD) et leurs collègues reviennent sur l'explosion des prix des médicaments anticancéreux.
Conduite à l'Institut Paoli-Calmettes (IPC), cette étude a analysé les relations entre prix et bénéfice
thérapeutique des nouveaux médicaments anticancéreux en France sur les 13 dernières années.
Une nouvelle étude menée par des chercheurs australiens montre que les androgènes - les hormones sexuelles masculines - pouvaient potentiellement servir de traitement au cancer du sein à récepteurs d'œstrogènes positifs.
La technique de l'ARN messager, utilisée dans les vaccins anti-covid, est aussi un motif d'espoir dans la lutte contre le cancer, explique la Professeure Laurence Zitvogel, de l'Institut Gustave Roussy.
L'Institut national du cancer publie quatre nouveaux guides pour les personnes malades et leurs proches :
Et trois mises à jour :
A quoi sert l'épigénome ? Dans les cas de cancer, quels sont les mécanismes et les acteurs qui viennent perturber l'épigénome ? Quels sont les moyens de diagnostic et de thérapie épigénétiques actuels ?
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
Des chercheurs étudiant le comportement des cellules spécifiques au cancer colorectal ont constaté quelque chose de surprenant : les cellules cancéreuses sont capables « d'hiberner », un peu comme le fait un animal pour affronter les longs mois d'hiver. De cette façon, les cellules cancéreuses semblent mieux résister aux traitements les ciblant, par exemple lors d'une chimiothérapie. Comprendre les mécanismes menant à cette hibernation pourrait permettre de considérablement augmenter l'efficacité des traitements actuels.
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
Les virus oncolytiques, qui attaquent les cellules cancéreuses et épargnent les cellules saines, pourraient bien être l'avenir des thérapies anticancéreuses.
Correctement manipulés, certains virus permettent de lutter contre le cancer, en augmentant l'efficacité des traitements d'immunothérapie, d'après le chercheur Inserm Jean-François Fonteneau, interrogé par Sciences et Avenir.
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
Des travaux soutenus par la Fondation ARC révèlent comment l'absence d'une protéine sur certains lymphocytes limite l'action des défenses immunitaires contre les tumeurs et prive certains patients de l'effet des immunothérapies actuelles.
Au sein de notre corps, toutes nos cellules possèdent les mêmes gènes. Ce qui détermine les différences entre une cellule nerveuse et une cellule de peau par exemple, réside notamment dans le niveau d'expression de ces gènes. L'expression plus ou moins importante, est déterminée par différents facteurs et notamment par des modifications épigénétiques. Ces modifications peuvent par exemple être portées par la chromatine ou la molécule d'ADN en elle-même.
Publication Clinical Epigenetics
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
Au sein de notre corps, toutes nos cellules possèdent les mêmes gènes. Ce qui détermine les différences entre une cellule nerveuse et une cellule de peau par exemple, réside notamment dans le niveau d'expression de ces gènes. L'expression plus ou moins importante, est déterminée par différents facteurs et notamment par des modifications épigénétiques. Ces modifications peuvent par exemple être portées par la chromatine ou la molécule d'ADN en elle-même.
Publication Clinical Epigenetics
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
D'après une étude, les cellules cancéreuses seraient capables d'entrer en état de dormance pour éviter la destruction par chimiothérapie. Cela pourrait expliquer pourquoi certaines personnes répondent mal à ces traitements, mais aussi pourquoi certains cancers semblent "réapparaître" soudainement après plusieurs années.
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
Les scientifiques ont généré un système génétique modélisant, chez la souris, l'hétérogénéité et la résistance aux traitements du cancer du sein dit triple négatif humain (TNBC). Dans un cadre collaboratif international, ils ont également découvert un traitement qui permet de surpasser l'hétérogénéité et la résistance du TNBC. Publié dans la revue Advanced Science, ces travaux montrent comment certains traitements, potentiellement pertinents, peuvent être identifiés en modélisant la maladie.
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
La prévention du cancer du col de l'utérus a fait un grand pas en généralisant les test HPV pour les femmes de 30 à 65 ans. Désormais pris en charge, ces tests sont beaucoup plus fiables, avec une valeur prédictive du papillomavirus de près de 100%.
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
L'efficacité et l'apparente relative innocuité de leurs vaccins à ARN messager ouvrent par ailleurs la voie à une révolution dans la recherche pour lutter contre le cancer.
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
Le profil énergétique des lymphocytes permet d'évaluer l'efficacité de l'immunothérapie dans les cancers. Une nouvelle technique de cytométrie de flux développée en France semble plus performante en clinique que les méthodes existantes, cantonnées à la recherche. Un outil de précision qui adapte au mieux le traitement.
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
Des chercheurs de l'Inserm et de l'université Toulouse III - Paul Sabatier à l'Institut des maladies métaboliques et cardiovasculaires se sont intéressés aux effets du tamoxifène sur les artères dans des modèles animaux afin de mieux comprendre son mode d'action et d'affiner son utilisation clinique. Leurs résultats sont publiés dans le journal Circulation Research.
Une équipe internationale, dirigée par le Dr Ludovic Martinet (chercheur Inserm) et le Pr Hervé Avet-Loiseau du Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT / Inserm, Université Toulouse III - Paul Sabatier, CNRS), vient de publier dans la revue Immunity une étude qui ouvre des perspectives pour améliorer l'efficacité de l'immunothérapie. L'absence d'une molécule chez certains patients atteints de cancer, le CD226, serait l'une des clés de compréhension de la résistance à l'immunothérapie.
L'équipe marseillaise d'Alice Carrier lors d'une étude soutenue par Fondation ARC pour la recherche sur le cancer décrit la vulnérabilité des cellules cancéreuses du pancréas face à l'action de la chimiothérapie à cause de leur trop grande dépendance à certains métabolites indispensables à leur survie.
Le lymphome anaplasique à grandes cellules est l'un des lymphomes T pédiatriques les plus fréquents. Bien que la chimiothérapie soit très efficace, environ 30 % des patients ne répondent pas au traitement ou rechutent en présentant alors une maladie plus sévère. Il est donc primordial de connaitre la genèse de ce cancer. En forçant des lymphocytes CD4 normaux à exprimer la protéine oncogénique provenant d'une translocation chromosomique, les scientifiques ont réussi à modéliser ce lymphome anaplasique en laboratoire. Ce travail est publié dans le Journal of Clinical Investigation.
Un procédé qui pourrait aider à personnaliser les thérapies anti-cancéreuses vient d'être mis au point par des scientifiques du CNRS, de l'Inserm et d'Aix-Marseille Université au Centre d'immunologie de Marseille Luminy, associés à des collègues de l'Université de Californie à San Francisco et à l'AP-HM, avec le soutien du Canceropôle Provence Alpes Côte d'Azur. Leur technique brevetée permet de connaître l'état énergétique des cellules, révélateur de leur activité
Une technique développée à Scripps Research vise à combler un besoin non satisfait parmi les scientifiques et les médecins qui ont besoin d'outils plus rapides et plus précis pour identifier les cellules immunitaires utiles infiltrant les tumeurs.
Des chercheurs de l'Université de Tel Aviv (TAU) ont développé un nouveau système de vecteur à base de nanoparticules lipidiques qui cible spécifiquement les cellules cancéreuses et les détruit par modification génétique
A la clé : un taux de survie augmenté pour les cancers les plus meurtriers.
Les virus oncolytiques, qui attaquent les cellules cancéreuses et épargnent les cellules saines, pourraient bien être l'avenir des thérapies anticancéreuses.
La protéine CRYM, jouant un double effet sur le cancer de la protate, laisse entrevoir un espoir d'une nouvelle forme de traitement.
Testez vos connaissances avec l'INCa
Article de la Fondation ARC du 02/04/2020
Retrouver les vidéos ici : https://urlz.fr/epGn
Cette émission en ligne sera l'occasion d'échanger sur les avancées médicales. "Têtes Chercheuses : tous à la pointe de la recherche sur le cancer" proposera interviews, témoignages et reportages dans un format digital dynamique de 60 minutes, animé par Julia Molkhou (journaliste sur RTL).
Médecins, patients, journalistes et professeurs dont les récents lauréats du Prix Griffuel Manuel Serrano et Michel Sadelain nous feront l'amitié d'être parmi nous, pour soutenir ce combat tourné vers l'avenir.
Retrouver la vidéo ici : https://forum.fondation-arc.org/?categorie=2366
La sertraline, un antidépresseur commun largement prescrit, pourrait aider à inhiber la croissance des cellules cancéreuses, constate une étude. Pour l'heure, ces travaux n'ont été menés que sur des modèles murins. Néanmoins, la piste clinique reste prometteuse.
Un procédé qui pourrait aider à personnaliser les thérapies anti-cancéreuses vient d'être mis au point par des scientifiques du CNRS, de l'Inserm et d'Aix-Marseille Université au Centre d'immunologie de Marseille Luminy, associés à des collègues de l'Université de Californie à San Francisco et à l'AP-HM, avec le soutien du Canceropôle Provence Alpes Côte d'Azur. Leur technique brevetée1 permet de connaître l'état énergétique des cellules, révélateur de leur activité. Elle est décrite dans la revue Cell Metabolism le 1er décembre 2020.
A l'occasion du congrès SITC (Society for Immunotherapy of Cancer), qui a eu lieu du 9 au 14 novembre 2020, une étude prometteuse, dont l'investigateur principal est le Pr Christophe Le Tourneau a été présentée.
"La combinaison du vaccin TG4001 et de l'avelumab a montré une activité clinique antitumorale prononcée (23,5% de réponse) chez 34 patients précédemment traités pour des cancers en récidive et/ou métastatiques liés au HPV."
Santé publique France, le service de Biostatistique-Bioinformatique des Hospices civils de Lyon, le réseau des registres de cancers Francim et l'Institut national du cancer publient les premiers résultats des estimations de la survie des personnes atteintes de cancer en France métropolitaine entre 1989 et 2018.
Des travaux soutenus par la Fondation ARC ont permis la description précise de mécanismes qui expliquent comment les cancers du sein échappent aux défenses immunitaires.
La Stratégie mondiale de l'OMS en vue d'accélérer l'élimination du cancer du col de l'utérus, lancée aujourd'hui, présente les trois étapes clés : la vaccination, le dépistage et le traitement. Si celles-ci sont mises en œuvre avec succès, les nouveaux cas de la maladie pourraient être réduits de plus de 40 % et le nombre des décès liés à la maladie de 5 millions d'ici 2050.
Les cellules cancéreuses persistantes sont responsables des récidives survenant dans les cas de cancers métastatiques. Une revue, parue dans Cell jeudi 5 novembre 2020, fait le point sur les connaissances actuelles de ces cellules particulières qui sont encore mal étudiées et capables de mettre en échec les traitements les plus performants.
De nouvelles perspectives dans la prise en charge de cette maladie provoquée par une infection persistante du papillomavirus humain (HPV)
En étudiant des échantillons tumoraux collectés dans le cadre du projet européen RAIDS*, des chercheurs et médecins de l'Institut Curie ont mis en évidence le rôle de certaines voies de signalisation et celui particulier d'une protéine, la béta-caténine, dans la réponse au traitement des formes graves de cancer de col de l'utérus.
Une découverte qui pourrait révolutionner le diagnostic et le suivi des gliomes.
Les chercheurs du MGH promettent que le test sera suffisamment sensible à détecter les mutations génétiques qui favorisent la croissance de ces tumeurs cérébrales chez l'adulte dans des échantillons de sang pour, de plus, suivre les progrès cliniques des patients atteints de gliomes.
L'Immunoscore est recommandé au niveau international pour affiner le pronostic des cancers du côlon. Cet outil prédictif développé par l'Inserm apparaît aussi capable d'identifier les patients chez lesquels une chimiothérapie apportera un bénéfice.
Une équipe a découvert un mécanisme impliqué dans la progression du cancer du pancréas vers son stade métastatique. Ce mécanisme s'appuie sur l'activation d'une protéine qu'un traitement en cours de développement permet justement d'inhiber.
À l'hôpital Saint-Louis à Paris, l'équipe Atip-Avenir d'Alexandre Puissant vient d'identifier un moyen de prédire la réponse d'un patient aux anti-MYC, des traitements ciblés du cancer en cours de développement pour la prise en charge des leucémies aiguës myéloïdes. Mieux encore, ces travaux permettent de proposer une solution pour restaurer l'efficacité de ces traitements en cas de résistance.
Une nouvelle stratégie thérapeutique pour limiter le développement des métastases de cancers colorectaux semble émerger. Les chercheurs ciblent les capacités motrices des cellules cancéreuses.
Cancer du pancréas : L'identification d'une signature moléculaire permet la personnalisation des traitements des cancers pancréatiques.
Une recherche promue par l'Institut Paoli-Calmettes propose une nouvelle stratégie basée sur la prédiction de l'évolution de la maladie et de la sensibilité des patients au protocole de chimiothérapie, actuellement en vigueur.
Article Gustave Roussy 19/09/20 "Une injection d'immunothérapie élimine la moitié des cellules tumorales chez 41 % des patients atteints d'un cancer du poumon opérable"
Article UNICANCER 17/9/20 Retrouvez toutes les études présentées
Article Inserm du 21/09/2020
Alors que l'origine embryonnaire de certains tissus est encore mal connue, une équipe marseillaise vient pour la première fois de décrire les processus dynamiques qui sous-tendent la formation des ganglions lymphatiques.
Des perspectives pour la médecine régénérative
Article Institut Curie du 05/06/2019
Aujourd'hui, la radiothérapie est l'un des piliers de la prise en charge du cancer. En effet, environ 2 Français sur 3 souffrant d'un cancer sont traités par radiothérapie au cours de leur maladie. Pour améliorer ce traitement, la recherche est plus que jamais d'actualité et doit notamment faire face à deux enjeux de taille : la résistance de certaines tumeurs qui sont insensibles au traitement et des effets secondaires à long terme qui limitent son utilisation.
Article AFU du 09/09/2020
En juin dernier paraissait dans le prestigieux journal New England les premiers résultats de l'étude HERO sur le rélugolix1, un nouveau traitement du cancer de prostate par voie orale. Le Pr Franck Bladou, membre du conseil d'administration de l'AFU, nous donne son avis sur cette nouvelle molécule.
Article SciencePOst 02/09/2020
Des chercheurs australiens ont découvert que le venin des abeilles détruisait rapidement des cellules cancéreuses su sein. Ils se sont concentrés sur une forme agressive de cancer du sein qui touche environ 15% des patientes.
Article INSERM 07/09/2020
Si les traitements ciblés du cancer sont véritablement porteurs d'espoir, ils n'en restent pas moins lourds, chers et non dénués d'effets indésirables. Ainsi, être en mesure de les prescrire aux seuls patients qui en tireront bénéfice est au moins aussi important que de poursuivre leur développement. C'est précisément ce à quoi s'attelle l'équipe Inserm d'Alexandre Puissant, à l'hôpital Saint-Louis à Paris.
Le chercheur et ses collaborateurs d'identifier un moyen de prédire la réponse d'un patient aux anti-MYC, des traitements en cours de développement pour la prise en charge des leucémies aiguës myéloïdes. Mieux encore, leurs travaux permettent de proposer une solution pour restaurer l'efficacité de ces traitements en cas de résistance.
Article CNRS 01/09/2020
Médicament qui sensibilise les cellules tumorales à la radiothérapie, la gemcitabine-monophosphate phosphatée (Gem-MP) a besoin de s'internaliser dans ses cibles pour éviter une toxicité dans les tissus sains. Une collaboration entre des chercheurs de l'ISMO, de l'IMAP et de l'IGPS a permis de développer une nanoparticule cage (nanoMOF) capable d'absorber le médicament, de pénétrer dans les cellules tumorales, puis de le libérer à l'intérieur de ses cibles. Ces travaux, qui font la couverture du journal ChemMedChem, montrent que les nanoMOFs augmentent les dommages aux tumeurs induits par la radiothérapie et que leur action synergique avec la Gem-MP double l'efficacité de la radiothérapie.
Article Le Monde 25/08/2020 Infos
Ceux qui ont été malades avant 21 ans n'auront plus à se déclarer auprès de leur assureur pour souscrire un crédit si le traitement est fini depuis cinq ans. Le délai de dix ans est cependant maintenu pour les cancers des adultes.
Pour en savoir plus Convention AERAS
Article Oncorif 19/8/2020
Le Journal officiel daté du 15 août 2020 a publié un arrêté avec, en annexe, le cahier des charges du programme national de dépistage organisé du cancer du col de l'utérus.
Ce programme de dépistage consiste en un examen cytopathologique de dépistage effectué chez les femmes asymptomatiques entre 25 et 30 ans et en un test de recherche de papillomavirus humains à haut risque (test HPV-HR) pour les femmes asymptomatiques à partir de 30 ans et jusqu'à 65 ans.
Ces examens de dépistage sont réalisés à partir d'un prélèvement du col de l'utérus.
Article Institut Curie 03/08/2020
Des chercheurs du CNRS à l'Institut Curie viennent de mettre en évidence que les cellules cancéreuses utilisent une protéine membranaire pour internaliser du fer. Publiés dans Nature Chemistry le 3 août 2020, ces travaux montrent que le fer ainsi absorbé permet aux cellules cancéreuses d'acquérir les propriétés de cellules métastatiques.
Article INCa du 24/06/2020
L'Institut national du cancer publie le dernier rapport annuel au président de la République du Plan cancer 3 et précise les échéances de la stratégie décennale de lutte contre le cancer.
Emission France Culture LA MÉTHODE SCIENTIFIQUE par Nicolas Martin. 15/06/2020
Qu'est-ce qui différencie les tumeurs primaires des métastases et comment se forment ces dernières ? Pourquoi ne parvient-on toujours pas à prévenir la formation de métastases ? Quelles sont les pistes envisagées pour enrayer le processus métastatique ?
L'American Society of Clinical Oncology (ASCO) a organisé son meeting annuel 2020 sur les thèmes des progrès de la recherche en cancérologie et de l'extension des soins de qualité pour tous les patients.
Le programme est conçu pour enseigner, mobiliser et rassembler les acteurs du domaine de l'oncologie. En plus de présenter les dernières avancées de la recherche en matière de traitement des cancers, il donne la parole à des scientifiques de renommée mondiale sur les modalités des traitements de pointe, les nouvelles thérapies et les controverses dans ce domaine.
Article www.fondation-arc.org poumon , sein, sarcomes gastro-intestinaux
Article www.pourlascience.fr les nouveautés dans la lutte contre le cancer
Articles Pourquoidocteur.fr poumon, cerveau, colorectal
Articles Pourquoidocteur.fr ASCO : les avancées dans le cancer du sein, de l'utérus et du cerveau pédiatrique
Articles Sciencesetavenir.fr gliome de l'enfant, ORL, col de l'utérus
Article Rose-up.fr vessie
Video Frequencemedicale.com Interview du Pr Ifrah, président de l'Institut National du Cancer, sur les nouvelles thérapies biospécifiques dans les lymphomes et myélomes
Video Youtube APHP colorectal
Video youtube UNICANCER : interview de Jean-Yves Blay, Groupe , pour un décryptage des temps fort du congrès autour du cancer du poumon, du rectum et de la médecine de précision
Video Youtube Gustave Roussy L'essentiel du congrès ASCO2020
Article publié le 17 avril 2020 par la Fondation ARC
Des travaux à la frontière de la biologie moléculaire et de la chimie donnent naissance à une nouvelle génération d'anticorps, susceptibles d'offrir des opportunités en cancérologie.
Article publié le 21 janv 2020 par l'Institut Curie
La connaissance de ces prédispositions permet d'enclencher une prise en charge spécifique de la personne à risque : une surveillance rapprochée, avec généralement des IRM annuelles de 30 à 65 ans ou une ablation préventive des seins, peu pratiquée en France (10 % des femmes qui se savent prédisposées).
Le rapport scientifique de l'Institut National du Cancer vise à valoriser les actions mises en œuvre en faveur de la recherche sur les cancers. Ce rapport constitue le principal outil permettant aux membres du Conseil scientifique international de passer en revue les actions entreprises pour conseiller et guider l'Institut dans l'élaboration de ses programmes et ses initiatives. Il décrit notamment les efforts réalisés en 2018 pour réaffirmer le soutien apporté à la recherche fondamentale, translationnelle, clinique et en sciences humaines et sociales, épidémiologie et santé publique.
Pour en savoir plus : ici
Institut Curie « En dehors des risques héréditaires, d'autres facteurs s'additionnent et ne sont pas spécifiques aux femmes jeunes » Jean-Yves Pierga, chef de notre service d'oncologie mammaire. En tête de ces facteurs de risque, les causes hormonales.
Article du 4 nov 2019
Les immunothérapies spécifiques : réactiver le système immunitaire pour qu'il détruise les cellules cancéreuses
Plus d'informations sur le site de l'INCa
Pourquoi et comment une cellule normale devient-elle cancéreuse ?
Quels sont les facteurs de risque connus ?
Retrouvez ici l'essentiel des informations pour comprendre les cancers.
L'Institut national du cancer lance, dès à présent, un nouveau programme de recherche visant à répondre à la question du lien entre l'exposition à la chlordécone et le risque de survenue du cancer de la prostate dans les Antilles. Demandé et annoncé par la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, lors de son audition auprès de la commission d'enquête parlementaire sur l'utilisation du chlordécone et du paraquat le 14 octobre dernier, ce programme pluriannuel sera doté d'un budget dédié.
Comme la ministre s'y est engagé, l'ensemble de nos concitoyens et plus particulièrement la population antillaise, doit être tenu informé des actions menées dans la lutte contre la chlordédone. Aussi, l'Institut national du cancer proposera des points d'étapes réguliers sur l'avancement du programme de recherche et ses avancées.
En savoir plus : site de l'INCa
Le glioblastome, une tumeur incurable du cerveau, est alimenté par un réservoir de cellules souches capables d'initier, maintenir et renouveler cette tumeur.
L'étude menée par les chercheur.e.s du CRCINA, et publiée dans la prestigieuse revue The EMBO Journal, révèle qu'un gène (MALT1) agit comme un point de contrôle vie/mort des cellules souches cancéreuses.
En savoir plus : site du SIRIC ILIAD
Il existe de très nombreuses variations entre les individus et entre les tumeurs, pour un
même type de cancer. L'immunothérapie doit idéalement être adaptée au profil immunitaire de la tumeur et au micro-environnement tumoral.
Pour en savoir plus : site de l'institut Curie
Contre les tumeurs cérébrales, les immunothérapies développées depuis quelques années commencent à montrer des signes encourageants d'efficacité. D'importants travaux de recherche doivent être menés pour envisager une exploitation optimale de ces approches.
Pour en savoir plus : site de la Fondation de l'ARC
Récemment présentés en congrès, les 1ers résultats de l'étude BIOMEDE, pilotée par le Dr Jacques Grill Gustave Roussy, démontrent l'importance du séquençage du gliome infiltrant du tronc cérébral de l'enfant (DIPG) dès le diagnostic.
Alors que le dépistage organisé du cancer du sein ne touche que la moitié de sa cible depuis plusieurs années, le consortium international MyPeBS, dont la Fondation ARC est membre, pose une question cruciale : un dépistage dont le protocole serait adapté au niveau de risque de chaque femme ne serait-il pas plus efficace ? Une grande étude, promue par Unicancer et financée par le programme européen « Horizon 2020 » se propose d'inclure 85 000 femmes à travers 5 pays afin d'y répondre.
En France il s'agit de recruter 20 000 femmes volontaires avant mai 2021. Pour participer à l'étude, rendez-vous sur le site https://mypebs.eu/fr/participez-a-letude-mypebs
Pour en savoir plus, cliquez : ici
L'équipe LNOx « Niche leucémique et métabolisme oxydatif » (CNRS ERL7001/EA7501, Tours - www.lnox-team.org) du Cancéropôle Grand-Ouest vient d'identifier un nouveau mécanisme de résistance des leucémies aux chimiothérapies. Publié dans le journal Oncogene, ces recherches du Pr Olivier Hérault et ses collaborateurs ont identifié un rôle clé des communications entre les cellules leucémiques et leur environnement (les jonctions Gap) qui favorisent la résistance aux traitements. Cette découverte majeure offre de nouvelles pistes thérapeutiques prometteuses pour réduire de risque de rechute après traitement de ces graves affections.
Cette étude décrit notamment les effets anti-leucémiques de la carbenoxolone (CBX), un dérivé de l'acide glycyrrhétinique déjà utilisé dans les affections buccales et oesophagiennes. Cette molécule bloque l'assemblage des connexines, les constituants des jonctions gap qui s'établissent entre les cellules leucémiques et les cellules du microenvironnement (cellules stromales mésenchymateuses ou MSCs). En modifiant les interactions entre ces cellules, le CBX perturbe le métabolisme énergétique des cellules leucémiques et diminue leur résistance à la chimiothérapie (aracytine ou Ara-C) tout en ayant une activité anti-leucémique en elle-même.
En savoir plus : Kouzi F et al. Disruption of gap junctions attenuates acute myeloid leukemia chemoresistance induced by bone marrow mesenchymal stromal cells. Oncogene. 2019 Oct 24. doi: 10.1038/s41388-019-1069-y.
Gregg Semenza, prix Nobel de Médecine 2019, est dans l'Editorial board de cette revue du groupe Nature.
Grâce à Hypérion®, les chercheurs pourront être en mesure de comprendre pourquoi un traitement est efficace sur un patient et inefficace chez un autre. Grâce à ses capacités d'analyse dans le sang, il est également possible d'identifier les cellules à l'origine de tumeurs et de métastases, de prédire plus facilement les réponses aux traitements, mais aussi d'identifier très précocement des marqueurs de rechute ou les bases de résistance à un traitement anticancéreux, et ce à l'échelle de la cellule.
Si les polluants organiques persistants ou POPs sont déjà soupçonnés de favoriser le cancer du sein, leur impact sur son agressivité demeure peu étudié. Une équipe de recherche de l'Inserm et d'Université de Paris, au sein du laboratoire « Toxicité environnementale, cibles thérapeutiques, signalisation cellulaire et biomarqueurs » a réalisé une étude préliminaire pour explorer l'hypothèse selon laquelle les POPs pourraient favoriser le développement des métastases dans le cancer du sein.
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Comment prédire la réponse d'un patient à tel ou tel traitement ? Grâce à un travail colossal de mise en commun de données scientifiques, mené par une chercheuse de l'Institut Curie avec ses collègues de l'Inserm, un outil innovant et collaboratif pourrait aider à affiner les stratégies thérapeutiques pour lutter contre le cancer. Ses résultats sont publiés dans Nature Communications du 22 octobre 2019.
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L'Institut national du cancer publie son rapport annuel 2018 et présente l'ensemble des actions menées en faveur de la lutte contre le cancer et les avancées dans le domaine de la cancérologie.
Intitulé « Une année porteuse d'espoirs », ce rapport d'activité souligne les avancées majeures dans la lutte contre les cancers et les résultats obtenus. Il le fait sans omettre de pointer les domaines pour lesquels la détermination de l'Institut et la mobilisation de l'ensemble des acteurs œuvrant dans la lutte contre les cancers, demeurent indispensables.
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