Ces cancérologues et biologistes de l’Université du Maryland (UMSOM) et de l’Université Johns Hopkins, identifient ici un gène régulateur majeur qui pourrait permettre d’améliorer l’efficacité du traitement des patientes atteintes de cancer de l’ovaire. L’étude, publiée dans la revue Cancer Research, prépare la voie à de nouvelles recherches sur le cancer de l’ovaire, en milieu clinique avec l’espoir de nouvelles thérapies de précision.