Un outil pourrait mesurer la présence de molécules dérivées du cancer dans le sang de patients atteints de cancer du poumon des années après leur traitement.
Une équipe a mené une recherche, publiée dans Nature Medecine, au cours de laquelle elle a cherché à savoir si la maladie résiduelle moléculaire liée à la tumeur, basée sur l’ADN tumoral circulant, pouvait prédire la récidive chez 220 personnes atteintes du cancer du poumon non à petites cellules avec des mutations activées par le facteur de croissance épidermique.