Cette étude d’une équipe de l’Université de Boston éclaire une réalité : le cancer ne se développe pas de manière isolée ; le cancer est influencé par l’état de santé général du patient, dont son métabolisme, et le cas échéant, par les troubles métaboliques comme le diabète. Ces liens significatifs entre le métabolisme et le cancer du sein agressif, documentés dans la revue Molecular Cancer Research, inspirent une médecine plus holistique et toujours mieux personnalisée.