Certaines nanoparticules pourraient stimuler les cellules immunitaires de patients atteints de cancer, même sans contenir de médicament anticancéreux. C’est ce qu’ont découvert des chercheurs de l’Institut de cancérologie de Strasbourg après quatre ans d’études, article publié le 12 juillet dans la revue Advanced Science. Pour confirmer leur théorie, des tests précliniques sur des souris viennent de débuter.